|| ¤ Ashura Kinkyo ¤ ||

|| ¤ Vous ¤ ||

Prénom : Marvin

Âge : 16

Comment avez-vous connu le forum ? Naruto Vs Sasuke Top 100

Avez vous lu le réglement ? Oui Mon Capt'ain

|| ¤ Votre Personnage ¤ ||

Nom : Ashura

Prénom : Kinkyo

Âge : 22

Rang : Pirate

Métier : Sabreur | Assasin

Équipage : Shinwa

Armes : Kinkyo a une enorme épee nommer Kubikiri Houchou, le manche est en or la garde elle est mis avec des sortent de plumes rouges. Sur l'épee il y a un dragon graver et aussi des piques au dessus. Il la porte dans son dos et il transporte aussi secretement deux petite épee ayant uen forme spéciale avec des kanji bizzare graver dessus... [ Signature ]
|| ¤ Ashura Kinkyo ¤ || 0aepee11

Fruit du Démon : Chi Chi No Mi

Description Physique :
Kinkyo est une personne relativement banale si on reste dans le contexte des Pirates, mais, si on en sort, on peut vite s'aperçevoir qu'il n'a rien à voir avec des personnes à priori normales. C'est un pirate très grand, et longiligne. Il mesure un mètre quatre-vingt trois et pèse soixante-douze kilos. Son corps est relativement musclé et souple. Kinkyo a des cheveux noir comme la nuit que l'on peut qualifier de court, il l'est porte dresser en pic sans mettre de gel, il a de la classe. Sa peau est de couleur mât. Ses yeux sont de forme ovale comme la normale, ils sont de couleur noisette en temps normale et n'inspirent que la terreur et la destruction. Lorsque la nuit tombe, ses yeux deviennent aussi noir que ces cheveux. Son nez est assez petit est assez fin. Le bas de son visage est toujours masqué par des bandages blanc comme neige ce qui lui donne un style tout à fait particulier mais très intimidant, ces bandages cache sa bouche ou abrite ses dents pointu faisant penser a celle des requin. Sa voix très grave le rend presque inhumain voir même démoniaque lorsqu'il se met à parler. Le style vestimentaire de Kinkyo est plutôt normal. Il porte un tee-shirt qui ne comporte aucun manche, ce tee-shirt cache le torse musclé de Kinkyo. On ne peut dissocier son apparence de l'énorme épée qu'il porte en permanence faisant presque sa taille. Elle à beau être très imposante et impossible à manier pour un pirate ordinaire, elle devient une arme redoutable entre les mains expertes de Kinkyo...

Description Morale :
Tout chez Kinkyo inspire la crainte mais le plus effrayant est son regard a glacer le sang. Son regard est toujours le même, froid, agressif ne montrant aucune expression. Il a une voix tres grave qui montre que Kinkyo ne fait pas de quartier. La musculature de Kinkyo ansi que son art au combat au corps à corps et bien sur son intelligence stratégique pour des combats lui permettent de tourner un combats à son avantage et d’en finir avec son adversaires. Ne possédant que la manie de sa démarche, de son regard et de sa voix, il ne s’intéresse que de ses affaires et est donc peu sociables avec autrui. C'est est un être froid et effrayant tant mentalement qu'il l'est physiquement. Il sait parfaitement étouffer ses sentiments qu'il considère comme une gène. En effet, pour lui les émotions sèment le doute dans l'esprit et pour un pirate le doute est trop souvent synonyme de mort. C'est donc une arme parfaite, un tueur méticuleux et professionnel. Cependant il possède une faille : son ambition est si grande qu'elle peut lui faire le sens des réalités et le rendre incapable d'accepter son infériorité face à un adversaire trop puissant. Il compense ce défaut par un mental d'acier et un esprit de compétition surdéveloppé. Pour lui rien n'est joué d'avance et le combat ne s'arrête que lorsque l'un des participants se retrouve à terre, vider de son sang et surtout mort...

Histoire :
Chi Chi No Mi… Dans la famille de Kinkyo, ce fruit du démon était un objet de culte, une légende raconté que seul le plus brave de tout les guerriers aurait un jour le droit de le manger. La façon la plus simple de reconnaître ce guerrier serait la marque qu’il aura à la naissance, un don inner pour l'assasinat. Pendant de nombreuses années, sa famille protégea ce fruit contre les pirates, mais aussi contre la marine, attendant l’arrivée du guerrier de la légende. Ce fut un soir sans lune que ce guerrier vint, il naquit aux alentours de 01h00 du matin, réveillant son clan entier. La première chose qu’on vit sur lui futle cadavre d'uen personne a coté du nouveau née, il était enfin arriver, le guerrier légendaire. Le clan attendu dix longues années avant de lui faire manger le fruit, dix longues années durant lesquelles il reçut un enseignement au combat et un enseignement général. Le jour de ses dix ans, il fut convoqués par le vieux prêtre une sorte de vieil ermite qui vivait dans un autre monde… Celui-ci lui fit la plus belle frayeur de sa vie et le força à avaler le fruit, n’écoutant pas les protestations de Kinkyo qui hurlait que c’était écoeurant. Au bout de quelques minutes de cris Kinkyo ressortit de la maison de ce vieux fou, il était taché de sang et son regard était froid, distant. La plupart des hommes se précipitèrent à l’intérieur et découvrirent le prêtre, la tête détachée du reste de son corps. Lorsqu’ils sortirent ils prirent la décision d’exiler Kinkyo, pensant qu’il ne pouvait être le guerrier de la légende et qu’il était juste un usurpateur. Sa mère protesta, comme quoi il était trop jeune pour partir, mais Kinkyo totalement déboussolé partit de son plein gré. Il vagabonda trois années durant sur les routes en tuant les gens grâce a se don d'assasinat. Puis, il décida de se servir d’un autre de ses dons, celui du fruit Chi Chi No Mi, pour faire quelques chose de sa misérable vie. Il s’engagea donc dans la marine. Ou il resta durant 4 années. Au bout de ses quatre années, on le força à attaquer un groupe de pirate qu’il ne jugeait pas comme les autres. Pour éviter d’avoir à obéir à ces ordres, il tua son supérieur et prit la fuite à bord d’une barque de sauvetage. Depuis il vagabonde à nouveau espérant trouver un équipage de pirate pour tenter sa chance autre part...

Test RP :
[ Fait en tant que Uchiwa Itachi sur un autre forum ]

Il les cherchait, ceux qui pouvait lui rendre un bien grand service… non pas comme eux le penseraient mais d’une autre manière. L’Akatsuki… les grand méchant de se monde qui veulent attraper les fameux bijuus parcourant se monde. Une quête qui pour Itachi ne viendrais pas a son but, elle ne réussirait pas a avoir tout ce qu’elle souhaite…mais quelle est la définition selon vous du monde parfait ? Un monde parfait en se basant sur une référence terrestre ou cosmique !! Un monde parfait en tenant compte de toutes les données de l’évolution de l'espèce humaine (d'ailleurs espèce très retardée mentalement) Chacun peut inventer son monde parfait. Dans l'absolu, le monde parfait "réel" n'existe pas. C'est une projection du mélange rêve/crainte pour faire face à une problématique donnée. Un monde sans guerre sans faim sans violence sans ...sans....Oui, car l'humain a déjà invente ces termes la !! Et si le mot Guerre n'avait aucune signification...alors le monde parfait serait pour certain déjà réel !! Et même si on efface toute les fautes (violence, peur, stress, connerie, sauvagerie…) accumulées par l'humanité durant des millions d'années, une seule perturbation de dame nature et votre Univers parfait s'écroule tel un château de sable. Le monde parfait est juste une illusion de l'âme !! Ça n'existe pas et ça n'a jamais existait !! Le jour ou le monde parfait existerait, vous prendrez conscience que vous étés mort et enterré. C'est la paix d'esprit et de l'âme… Ce n’était qu’une facette bien sur, l’Akatsuki ne voulait pas faire régner la paix, il voulait la dominer pour l’exploiter à son tour. Une sorte de tyrannie assez raffinée qui n’est pas détectable par des personnes moins réfléchies. Il voulait sois disant faire régner la paix par la souffrance. La souffrance est dite physique ou mentale, selon qu'elle se rattache principalement à un processus somatique ou psychique dans un organisme. La douleur (comme sensation), la nausée, la détresse respiratoire, et la démangeaison sont des exemples de souffrance physique. L'anxiété, le deuil, la haine, et l'ennui sont des exemples de souffrance mentale. L'intensité de la souffrance peut présenter tous les degrés, depuis l’anodin négligeable jusqu’à l’atroce insupportable. En même temps que l’intensité, deux autres facteurs sont souvent pris en considération, la durée et la fréquence d’occurrence. L'attitude des gens envers la souffrance peut varier énormément, selon la mesure où, estiment-ils, elle est légère ou sévère, évitable ou inévitable, utile ou inutile, méritée ou imméritée, choisie ou non voulue, acceptable ou inacceptable, de conséquences mineures ou graves. Les mots douleur et souffrance peuvent prêter à confusion et demander une attention particulière. Parfois ils sont synonymes et interchangeables. Parfois ils sont utilisés en opposition l'un à l'autre, par ex. "la douleur est physique, la souffrance est mentale". Parfois, un mot désigne une variété de ce que désigne l'autre mot, par ex. "la douleur est la souffrance physique", ou "la souffrance est la douleur physique ou mentale sévère". Parfois encore, les gens utilisent d'une autre façon ces deux mots. Tous les êtres doués de sensibilité souffrent au cours de leur vie, de diverses façons, et souvent dramatiquement. Aucun champ de l'activité humaine ne s'occupe du sujet de la souffrance dans son ensemble, mais plusieurs s’intéressent à sa nature ou à ses processus, à ses origines ou à ses causes, à sa signification ou à son importance, aux comportements personnels ou sociaux ou culturels qui y sont reliés, à ses remèdes, à sa gestion, à ses utilisations. Itachi n’était pas mauvais mais devais se faire passer pour un mauvais, tout un art en soit. Près de deux piliers rouges devant une assez grande grotte, il attendait… quoi ? Seul une personne pouvait y répondre… En attendant son arrivée, Itachi s’essaya sur une pierre près d’une petite rivière qui n’était pas naturelle. Peut-être une sorte de piège, ou autre moyen d’identifier une personne. L’air était doux et glissait sur son visage, le ciel bleu intense régnait en maître sur la forêt danse. Les petits oiseaux chantaient des petits airs répétitif mais non pas agaçant, par contre aucun poisson ne venait se faufiler dans la rivière ce qui confirmait l’observation de Itachi. Un petit craquement vint faire revenir Itachi a la réalité, un homme se trouvait près de lui mais celui-ci ne l’observait pas… il s’avançait vers lui. Une longue cape noire avec des nuages noirs, un masque orange avec un œil rouge appelée le sharingan... c’était lui qui l’avait proposer de rejoindre cette organisation après son carnage. L’homme parla avec une voix sérieuse, il voulait se montrer persuasif :

« Comme je te l’avais demandé, veux tu m’aider dans ma tâche ? En fait, cette question n’as pas réponse, puisque la réponse je la connais seulement pas le fait que tu sois venu… Je ne suis pas le genre d’homme a me faire trahir comme ton clan, sache que tous acte mauvais envers moi engendrera des répercutions… Je ne veux pas connaître tes désirs… je veux te les dire et te montrer la voie a suivre… prend les reines de l’Akatsuki… fait ce qui te semble bon en vue des idéaux conçu. Je te fais confiance… ne me déçois pas …juste une chose… pas plus de 9 membres, toi y compris… »

Itachi acquis mais n’apprécia pas la manière de parler de l’homme mais, il sentait qu’une grande puissance habitait cette homme. Celui lui expliqua assez brièvement le mécanisme de la cache de l’akatsuki : La rivière servais a savoir si un ennemi entrais dans le périmètre, une sorte de détecteur. La grosse pierre bouchant le passage de l’entrer, le simple fait d’influer son chakra dans la pierre avec sa main droite ou gauche selon ou la bague était placée rompait le premier piège. Ensuite l’exécution d’un kai était obligatoire pour faire disparaître cette pierre. Exécutant la manière de suivre a la lettre, Itachi pu entrer seul dans le repère alors que l’homme au masque orange disparu… L’intérieur de la grotte était spacieuse, seul deux portes se pressentaient : une sa droite et une a sa gauche. Il entra tout d’abord à sa gauche pour observer qu’une dizaine de portes se présentait face a lui dans un couloir sombre, sans doute les chambres pensa-t-il. Itachi sortit du couloir pour aller dans la deuxième pièce qui à première vue était une salle de réunion assez grande avec des sièges en pierre. Il sortit a nouveau de la pièce pour observer la plus grande pièce de toutes, elle était vide, c’était sûrement la salle d’extraction ou un truc du genre… D’après l’homme au masque orange, il fallait attendre un certain Pein pour commencer les extractions de bijuu et que la grande chasse commence enfin… La salle… cette salle lui rappelait son passé et… le jour du meurtre d son meilleur ami…Une grotte sombre, la mission était de voir si les souterrains de Konoha étaient sur, plusieurs plainte avait été soumise a l’Hokage. Une mission plus que banale pour deux Anbu mais les ordres étaient les ordres… Quelque lampe torche étaient allumés pour éclairées l’avancer des deux ninjas mais l’un deux s’arrêta… c’était Itachi… un éclat de lumière jaillissait de sa main gauche… un kunai était brandi sur son coéquipier et aussi meilleur ami… des larmes coulèrent sur son visage mais il le fit, dans le dos… le kunai se planta dans le dos de son ami… celui-ci pouvait réagir en essayant de survivre, celui-ci ne voulu rien faire pour se défendre, il s’en doutait en un sens… mais comment ? Celui-ci glissa quelques mots pour Itachi… mais ce qu’il dit un jour restera silence pour une éternité…II va sans dire qu’être dans le silence ne signifie pas être inactif, puisque c’est précisément dans le silence que nous nous retrouvons face à notre être véritable. La tristesse et le malheur sont parfois si accablants que nous ferions n’importe quoi pour ne pas y faire face. La radio, la télévision, les journaux, la lecture, le cinéma, mais aussi le travail et une vie sociale bien remplie peuvent être des façons de se fuir et de vivre notre vie à la manière d’un long divertissement. Le mot divertissement est important ici. Il signifie littéralement « action de détourner ». Le divertissement est tout ce qui nous détourne des choses auxquelles il est difficile de faire face. Se divertir, c’est se distraire, s’amuser, passer le temps. Le divertissement a souvent un effet bénéfique. Il nous donne un répit, nous permet d’oublier nos inquiétudes et nos peurs pour un moment. Mais lorsque nous vivons notre vie comme un long divertissement, nous perdons contact avec notre âme et devenons des spectateurs ou des figurants d’un spectacle qui ne se renouvelle jamais. Même une occupation utile et productrice peut devenir une façon d’oublier ce que nous sommes vraiment. Il n’est pas surprenant que, pour plusieurs, la perspective de la retraite soit angoissante. Que serons-nous quand il n’y aura plus rien pour nous tenir occupés ? Le silence est la pratique spirituelle qui nous aide à dépasser le stade du divertissement. C’est dans le silence que nos chagrins, et les joies qui y sont mêlées, sortent de leur cachette ; nous pouvons alors les regarder sans peur, puisqu’ils nous appartiennent, et nous frayer, entre les ombres et les clairs, un chemin qui mène à la liberté. Nous pouvons trouver le silence dans la nature, dans une église, dans un centre de méditation ou dans notre maison. Quel que soit le moyen de l’atteindre, nous devrions le chérir. Parce que c’est dans le silence que nous pouvons vraiment connaître ce que nous sommes et le reconnaître progressivement comme un don de Dieu. Au début, le silence peut nous effrayer. Car ce sont d’abord les voix surgies de l’ombre que nous entendons : celle de la jalousie et de la colère, du ressentiment et du désir de vengeance, de la convoitise et de l’avidité ; celle aussi de la douleur provoquée par les pertes, les abus et les rejets. Ces voix sont souvent brutales et bruyantes. Elles peuvent même nous assourdir. Notre réaction spontanée est de les fuir et de continuer à nous distraire. Mais si nous avons le courage de le supporter et de ne pas nous laisser intimider par ce tumulte, il perdra graduellement de sa force et s’affaiblira et les voix douées et réconfortantes venant de la lumière pourront se faire entendre à leur tour. Ces voix parlent de paix, de bonté, de douceur, d’espoir, de pardon et, surtout, d’amour. Elles peuvent d’abord sembler petites et insignifiantes et nous pouvons avoir de la difficulté à leur faire confiance. Néanmoins, elles sont très persistantes et elles deviendront plus fortes si nous continuons à les écouter. Elles viennent de très profond et de très loin. Elles nous parlaient avant même que nous soyons au monde, et elles nous révèlent qu’il n’y a pas de ténèbres dans Celui qui nous a envoyés dans ce monde, seulement de la lumière. Mais ce n’était pas le moment de pensée a ces choses et ça ne seras jamais le moment, pour l’instant il fallait la cachée… cachée cette vérité… L'opposition vérité et mensonge est courante. La vérité n'étant pas une notion absolue, la notion de mensonge est elle-même floue. Le dicton toute vérité n'est pas bonne à dire renvoie aussi à l'idée que, peut-être, toute vérité n'est pas bonne à entendre et entraîne ainsi un bon mensonge, au moins par omission. Morale et religion distinguent traditionnellement trois sortes de mensonges : Le mensonge joyeux, énoncé pour plaisanter ou se moquer quelque peu. Il est distingué toutefois lui-même de la simple plaisanterie de circonstance où les deux parties sont de connivence sans ambiguïté sur le fait que l'information mentionnée est fictive : morale comme religion cessent dès lors d'être concernées. Le mensonge officieux, que l’on énonce pour rendre service à autrui ou à soi-même. Ce mensonge est alors considéré comme plus ou moins grave, selon ce dont il s’agit et en fonction des circonstances qui l’accompagnent. Quand le mensonge officieux ne contient aucun élément nuisible, le sage ne le blâme pas chez autrui ; mais il l'évite pour lui-même. Le mensonge pernicieux, qui a non seulement l'effet, mais le but de nuire à autrui. Ce mensonge parfois nommé par la littérature mensonge malicieux, est naturellement considéré tant par la morale que par la religion comme le plus grave des trois. Ce point est commun aux cultures occidentale et chinoise. Le "mensonge blanc", qui vise à ne pas heurter autrui mais qui, néanmoins, lui ravit son autonomie ; aussi appelé "mensonge pour ne pas faire de peine". La seule chose qui pouvait rompre ce mensonge c'était Sasuke... et sa vengeance, sa soif de vengeance... Mais sera-t-il assez mure et fort pour le faire, pour faire la chose qu'Itachi attendra aussi longtemps qu'il faudra ...

Après plus d’une heure d’attente, une personne s’approcha de la grotte, la rivière l’indiquait par des petites ondes transmises dans toute la grotte. La personne savait d’ailleurs déjà comment entrer dans l’Akatsuki, sans doute le sois disant Dieu…c’était seulement de l’orgueil pour Itachi : L'orgueil est le chef tyrannique des principaux vices, c'est-à-dire de ces vices d'où en découlent une multitude d'autres. Parmi les péchés capitaux, l'orgueil est le plus capital, ou si l'on veut, le plus fondamental. L'orgueil est l'origine de tout péché, la racine de tout mal, "la mère nourricière et la reine de tous les vices" .Itachi définit l'orgueil comme une estime exagérée de soi-même, qui s'accompagne de mépris pour les autres. Dans la mesure où l'on s'élève au-dessus d'un autre, on tend à l'abaisser, du moins dans l'opinion qu'on en a. Le mouvement propre à l'orgueil a quelque chose d'insensé, car il est insatiable dans sa recherche de grandeur : il ne lui suffit pas de s'élever au-dessus des autres et de les mépriser, il cherche à s'élever au-dessus de Dieu lui-même, à mépriser Dieu. L'orgueil est en réalité le péché propre de Lucifer qui, n'acceptant pas sa condition de créature, a voulu se faire l'égal de Dieu. Tombant dans la folie de l'orgueil, Lucifer a déclaré la guerre à Dieu. C'est dans cette folie de Lucifer que se trouve l'origine première de toutes les guerres, de toutes les révoltes, de toutes les haines, de tous les désordres. C’est bonne intention comme celle de l’homme au masque orange n’était rien d’autre que de la tyrannie, ce qui confirmait une autre thèse de Itachi, le piège se fermait petit a petit que des éléments s’ajoutèrent… personne ne comprendrais peut-être jamais ce petit jeu ayant une si grande importance… Pein se présenta a Itachi avec sa chevelure orange et ses yeux dépourvu d’émotions, des cercles étranges était présent dans ses yeux… Le visage de Pein changea quand il vu le sharingan de Itachi, Itachi quant a lui demanda quelque explication de la part de Pein sur le but ultime, celui-ci réponde avec un ton froid dénué de joie ni de chaleur… comme Itachi…

« Bonjour. je me nomme Pein… Tu voudrais savoir quels sont les objectifs bien précis, notre but est de créer un ultime kinjutsu avec les bijuus, capable de détruire un pays d'un seul coup, sur le principe d'une arme de destruction massive. Selon moi, l'unique moyen pour supprimer les conflits dans le monde est que ses habitants passent d'abord par un état de terreur et de souffrance, ce qui leur apprendrait ensuite à se contrôler et à faire évoluer leur mentalité. Seule cette souffrance peut amener le monde à grandir. J’espère que tu comprendras cette idéaux…»

Itachi ne fit pas attention a sa certaines prétention, cela se voyait qu’il voulait se faire passer pour un Dieu, sa manière de parler comme ça façon de prendre les gens pour des idiots… Itachi l’interrogea sur ses yeux qui ne lui rappelait rien… un nouveau dojutsu unique, impossible seul le sharingan était avec le byakkugan… les deux plus puissant de ce monde…Pein lui expliqua le récit de son rinnegan pour ne rien se cacher entre deux futur chefs, ce que comprit Itachi était que le rinnegan est une pupille spéciale formée de cercles concentriques de couleur grise-violette. Ces yeux ont pour réputation d'être plus forts que les deux autres dojutsu (Sharingan et Byakugan). Ces yeux étaient possédés par le sage des six chemins (Rokudou Sennin), qui serait à l'origine de la discipline et du monde ninja. C’est ce sage qui a inventé les ninjutsu moderne que l'on connaît. Ces yeux étaient appelés les outils du paradis. Ce dojutsu a été découvert par Jiraya lorsqu'il à fait la connaissance de 3 orphelins qui avaient perdu leurs parents pendant la guerre. Ils s'appelaient Nagato, Konan et Yahiko. Jiraya accepta de leur porter son aide. Il resta 3 ans avec eux. Un soir, Nagato et Yahiko se sont fait attaquer par un chuunin du Village Caché de la Roche. Konan avertit Jiraya immédiatement du danger qui les guettait mais quand Jiraya arriva, le chunin était déjà mort. Il s'approcha de Nagato et de Yahiko et ce dernier lui expliqua ce qui s'était passé. Il lui raconta que le chunnin voulait de la nourriture et de l'argent, alors Nagato s'est énervé et le chuunin est mort. Jiraya, impressionné par ce qui venait de se passer s'approcha de Nagato, mais ce dernier était complètement figé et paralysé. Jiraya le regarda et découvrit à ce moment ses fameuses pupilles onduleuses. Depuis, ces pupilles se sont améliorées car elles sont à présent formées de quatre cercles, et non plus de trois. Le Rinnegan permet à son utilisateur d'utiliser toutes les affinités. Selon Itachi, une telle puissance ne pouvait être concevable, chaque force a une faiblesse… un dojutsu concentrer en ninjustu ne serait sûrement pas bon en genjutsu ou taijutsu, en tout cas un des deux… mais lequel ? Itachi savait qu’il était plus fort… mais ce n’était pas le moment de vouloir assouvir sa force, seul le temps le ferait comprendre aux autres…

Bienvenue =3

J'adooore ta présentations c'est pourquoi je t'accepte dans mon équipage malgrés que je ne voulais plus de bretteur x3

Ah oui pour que je te valide, envoie moi ton fruit par MP =3

Je te remercie pour l'accueil et aussi pour le fait que tu me prenne dans ton equipage et aussi pour le compliment sur ma présentation cela me touche xD

Pour le fruit je t'envoie ça.

Ps : J'aime beaucoup tes création !!

Biievenuue Very Happy

En esperann Te croiiser dans Le Rp .

Merci beaucoup Melia !!

J'espere moi aussi te croiser in Rp.

Encore un Shinwa ?! Yata
Bienvenue !

Merci de ne pas déplacer le sujet je n'ai pas eu le fruit u_u"