Goupil

# Vous #

Prénom: Julien

Âge : 13 ans

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Avez vous lu le règlement ? Oui

autre chose, très beau design !
# Votre personnage #

Nom : Kotchoki

Prénom : Goupil

Âge : 20 ans

Rang :chasseur de primes

Métier : Musicien

Équipage : Aucun pour l'instant

Armes: Deux flûtes avec une lame rétractable à l'intérieur, un cercueil avec une guitare truquer de piège. (Le cercueil est lourd, donc je le pose pour le combat, je suis loyaux, et je comprend cette faiblesse, donc je ne ferais rien d'exceptionnel en rapport avec ceci)

Fruit du Démon: aucun

Description Physique ( 5 Lignes minimum ) :Goupil est un jeune homme pas si grand pour son âge, ni trop lourd ni trop léger, son allure ne vient pas de cela. Elle ne vient surement pas de sa démarche ni de son style vestimentaire, qui est toute fois très étranges. Oui car Goupil est ETRANGE, son costume marron et vert ne font que refléter son côté noir. De plus le lourd manteau noir à fourrure qu'il porte, tenant chaut pendant les plus durs hivers, montre qui l'aime êtres remarqué. Il transporte de plus un énorme cercueil noir ornée de plusieurs cordelettes rouge mortuaire évidement qui préoccupe les personnes qu'il rencontre. Mais son visage est sans doute le plus original, on ne compte pas moins de 20 pressing collés sur tout les coins du visage libre. Que sa soit la langue, les lèvres, le front, le cou, les yeux, le nez et les oreilles personnes n'est à l’abri. Goupil est un adepte de ce qui fait peur. Justement il porte une crois sainte au cou en pendentif qui rappelle la forme que donne ses pressing sur son front. Il n'a pas de cheveux, à part une petite couette rousse attachée par un élastique pourri près à craquer. C'est ainsi qu'on li donna le no du renard à la crinière rousse. Sur son crane, un vieux tatouage remplace les cheveux de Goupil. Celui ci est aussi étrange que Goupil

[b]Description Morale ( 5 Lignes minimum ) : On peut écrire les idées, les impressions, les sentiments qu'éprouve, ressent Goupil avec seulement comme indice sont aspect. On peut voir qu'il à l'air étrange, il aime ce qui choque, ce qui fait peur. Il aime se faire remarqué, qu'on n'oublié pas son nom, si on a eu le temps de ne le connaitre. Pas de soucis, il n'oublis jamais de ce présenter, en faite ce qu'il désire, c'est qu'on le connaisse. Un rêve nourrit par le manque de ses proches, de ses parents avant tout. Etres seul autant d'année n'a fait que renforcé sont côté provocateur. Mais si on s'arrêter qu'au physique pour découvrir une personne, on ne pourrait imaginer que son cœur n'est pas mauvais. Non il n'est pas aussi terrifiant que son visage, que ses nombreux pressings, que son tatouage ou son énorme cercueil qu'il traine par tout. Il est terrifié de se sentir seul, même s'il a toujours vécu seul, on ne peut se sentir bien sans amour. De plus, à force de se renfermer, il ne trouve pas d'emploi stable, alors il voyage, il voyage, il voyage tellement qu'il découvre des pays, des coutumes pour enrichir sa musique. Goupil a deux passions dans sa vie, celle qui est douce, la musique, et celle qui cogne, le combat ! Il adore tellement ces deux activités, qu'il les mélangé. Ainsi il se balade dans les rues pour faire partager ses passions.

Histoire ( 20 Lignes minimum ) :

¤CHAP 1: L'abandon¤
Un soir d'automne, sur une plage d'un petit village, un vieux bateau à voile rouge grinçait sur les douces vagues frappant le sable. Il freinât son allure vers l'arrivé du village. Sans faire de bruit, une dizaine de silhouette descendaient du bâtiment. Un homme plus robuste sortit de la foule de guerrier, il avança doucement avec ses grand pas majestueux. Il posa un enfant pleurant emmitouflé dans un drap bleu en coton. L'homme avec l'imposante musculature regarda et joua avec l'enfant encore quelques minutes, mais il fut vite arrêter par la main d'un autre guerrier ayant lui aussi une allure dramatique. Il fut peu de seconde pour que tous les soldats rentrent dans le navire. Ceux ci partirent sur la mer en laissant le bébé sur le bord de la plage. Une femme entendant un mouvement sortit de chez elle en robe de chambre. Elle admira le navire quitté le village ainsi que son drapeau noir, celui de pirates. Elle ne cria pas, car à la seconde qui suivit elle entendit l'enfant sur le sable. Elle se précipita vers lui et l'attrapa. Le lendemain le maire apris la tragique histoire et ordonna que l'enfant soit mis en pensionna. Ils ne le fesaient pas ressentir, mais le village avait peur de cette enfant, car c'était un fils de pirate !

¤CHAP 2: L'enfance d'un renard¤
Dans la cour d'un pensionna, couraient, jouaient, rigolaient plein enfants. Enfin sauf un seul. Sur le bord d'un mur fissuré et recouvert de poussière, pleurait un garçon. Il était si mis à l'écart qu'on ne pouvait le remarquer. Soudain un caillou s'écrasa sur son crane. Trois gamins, près du garçon, jetaient à nouveaux des cailloux sur le pauvre enfant. Chaqu'un chantonnèrent une petit chanson méprisante. Ils se moquèrent de lui sans s'arrêter. Puis d'un coup, le garçon releva sa tête et frappa l'un deux. Le coup précis et puissant, fis chuté le gamin et son nez saigna. Le regard du pauvre garçon changea, il ressemblait maintenant à un vrai renard. Son regard rouge, ses cheveux roux et ses dents en forme de grosses canines n'étaient pas étranger à cela. Les surveillants attrapèrent l'enfant et le frappèrent pour l'arrêter.

Goupil, tu ne peus pas arrêter de frapper tes gentil camarades !!

Le garçon se débâté pendant qu'une femme lui criait dessus. L'enfant s'appelait Goupil. On lui avait donné se nom à cause de ses cheveux roux ainsi que son caractère plutôt coriace. Goupil frappa la femme qui riposta par des claques terrifiantes. Après un combat humiliant, Goupil s'échappa en courant. Ca fessait 10 ans qu'il était aussi mal traité. Tout le monde savait qu'il était un pirate, alors tout le monde le rejeté. Goupil était si mal aimé, qu'il pleurait chaque jour au même endroit, celui qu'on lui avait désigné, le mur fissuré.

Mais maintenant qu'il s'était échappé, il pouvait à nouveaux revivre.

Test RP ( 40 Lignes recommandées ) :

Journal de Mr Grindolat

Enfin de retour sur ma belle petite île de Chipron, le ciel était bleu avec quelques nuages flottant un peu par tout, les mouettes voltigeaient gracement pour me dire la bienvenue, et moi je les saluais avec ma reconnaissance comme un fou croyant parler aux animaux. Dans le "bateaubus" que j'avais utilisé, une foule de travailleur et d'enfant descendit du vagon comme à l'accoutumé avec leur sac remplie de fourniture de course ou de leur pochette de travaille. Je pris mon courage à deux main, laissant ma nostalgie loin derrière moi, pour posé mon premier pied sur le sable de la belle plage de Chipron. Le village était devenu une ville, une si grande ville, alors comme toute ville, je dus malheureusement traverser la petite banlieue entourant les quartier d'affaire. je regardais vite fait le paysage autour de moi, ainsi que les propriétés privés de puissant hommes riches. Les images horribles de pauvres vieillard abrité par un carton déchiré sur le bord des rues me donner envi de vomir, alors j'effaçais vite de ma mémoire ces vidéos atroces. Soudain j'entendis plusieurs chômeur ayant l'air heureux chantait une douce chanson des plus terrifiantes mais très attirantes:

Au mon diable, donne moi la chaleur
Au mon diable redonne moi mon cœur
Au mon diable seras-tu nous chérir?
Au mon diable montre nous ce qu’il ya de pire !

ect

Elle racontait l'histoire de vieux bonhommes sans argents perdu par la peur et sans raison demandant au diable de les aidés car le Dieu n'a rien fait. J'avais vraiment honte de les voir crier au diable, mais aussi pitié de leur tristesse et inconscience. Une dame vétu un large foulard noir entourant son cou jusqu'à ses épaules, avec une robe ressemblant à un tapis ou un rideaux, s'approcha de moi et me demanda:

Tu veus savoir pourquoi il chante cette chanson?

Elle souriat et me prit la main pour me montrer sa maison. Ainsi elle m'emenna chef elle pour m'inviter. De toute façon je n'avais null part ou allais avant 14h50. Je disais donc qu'elle m'invita chez et qu'elle me proposa de boire un peutit bol de thé.Ensuite, quand j'eus englouté la première gorgée de mon thé, elle me raconta de suite son histoire, je sortis mon journal et je pris des notes:

"Un jour est venu un drôle d'individu, portant un énorme cercueil près de sa charrette tirée par un bœuf apeuré. Tout le monde s'écarta pour le laisser passer car il donnait un air terrifiant. Il entra dansune auberge, et partit s'assoir sur un tabouret pour demander une bière. Mon maris, le chez du bar, lui donna un verre rempli d'alcool. L'homme donna la bière à son chient assis à coté de lui. J’étais aussi surprise que mon mari ainsi que ses clients. L'homme sortit après quelques temps. Beaucoup le suivirent pour en savoir plus sur cet étrange individu. Il arriva dans un stade où séjournée plusieurs chômeurs. Il s'asseyait devant eux, et sortit de son cercueil une grande guitare tout aussi imposante. Il enleva sa lourde capuche noire pour relevé sa tête et montrer son visage. Il commença à chanter un refrain d'une chanson lente et très tritres, le même qu'on entend toute la journée maintenant. Depuis qu'il est arrivé, ses personnes retrouvent le moral en chantant pour le diable. Ce que je n'oublierais jamais, c'est ce qu'à dis cet individus: "Dieu nous à pas sourit, alors pour nous il est au même rang que le diable, si on ne peut avoir l'aide de Dieu, on implorât le diable. Ce qui compte c'est d'avoir la confiance pour continuer." Puis il partit, un vielle homme curieux lui demanda son nom, il répondit: "je suis Goupil, le renard à la crinière rousse" rousse!"

Je fus bouge bé par l'émouvante histoire, et immédiatement je demandas ou je pouvais le rencontrer pour lui parler. Elle me répondit, "suivait les pauvres enfants". Le lendemain avec beaucoup d'exitation et de fatigue car je n'avais pas bien dormit, je partis voir cette homme qui me paraissait êtres un sage. Des enfants mal habillé courant dans la rue me donnèrent le chemin pour aller le voir. Sur la route, ils me racontèrent qu'ils allaient le voir tout les jours pour qu'ils leur raconte des histoires. J’entrai dans une vielle cabane pour découvrir le visage de cet homme. Par ma plus grande surprise, il était jeune, mais si sale, si égratigné, si blessé. Je lui aurais donné 30 ans à cause de son visage déja ridée. Il avais l'air d'avoir tout connu, d'avoir tout fait, d'avoir tout subis. Je lui demandai de me racontait une histoire, et il me répondit:

je ne fais pas voyante !

Sa voix était si terrifiante, mais douce à la fois. Les enfants rigolèrent, et moi, j'avais honte, mais je continuais à lui demandais des faveurs.

Pourquoi avait vous aider les chômeurs, qui êtes vous et pour qui faite vous ça, avait vous une raison??

Je venais de libérer une partit minime des questions que j'avais sur lui. J’étais si intrigué sur lui, que j'aurais joué au poker sans m'arrêtais pour le connaitre et laissant mon argent s'envolait fesant bonheurt au bluffeur. Après une longue hésitation il me répondit avec détails.

Certaine personnes disent que je suis mauvais, et que je ne devrais pas offenser le Dieu, mais j'ai connus tellement peu de bonheur pour tellement de malheur, que je hais Dieu. Je fais tout ça pour ceux qui ont besoin de moi, et je n'ais aucune motivation. Mais sais-tu qu'elle est mon rêve?? Je veus que le monde me connaisse, dans mon enfance on m'a trop évité.

Je souriais, mais j'avais envi d'apprendre encore plus sur lui, de le suivre, c'était comme un coup de foudre. Je lui demandai si je pouvais le suivre dans ses voyages car ma décision était prise, je vivrais pour le connaitre. Il accepta, mais on n'eut le temps de parler un peu plus, qu'une voix fit trembler nos tympans. Des paysans étaient là pour chasser Goupil. Ils disaient qu'il venait pour le faire payé d'avoir offensé Dieu. Goupil s'approcha, il sortit deux flûtes jaune et orange où était peignit de nombreux motif et forme et traversa la foule en marchand doucement et tranquillement avec des pas de renard si lourd et stressand à la fois. Quand il s'arrêta, les armes, les faux, les ballets, tous se coupèrent en morceaux comme par magie. Je voyais maintenant la force d'un homme aussi grande que sa sagesse. Il ne resta que deux jours de plus sur l'île et il partit sur East blues avec un vieux bateau. Je le suivis sur sa barque malgré le danger. J'étais toujours bercé par un vent de courage m'emportant vers ce garçon si intrigant. Il me raconta qu'il aimé la mer et que son père était un pirate. Mais malheureusement il ne savait pas qui c’était. J’étais toujours aussi admiratif de ses histoires touchantes. Certaines fois je me suis demandé si j’étais tombé amoureux de se garçons, mais bien sur que non, j’étais juste content de trouver un garçon ressemblant à mon fils...

Il se retourna et me regardât avec un regard froid puis me cria:

Je veus devenir un guerrier, un guerrier très puissant, alors si vous avez peur, vous pouvez encore renoncer !!!

Bienvenu chez nous. Je n'aurais qu'un seul commentaire pour le moment: attention à l'orthographe. Si tu pouvais corriger tes fautes se serait bien.
Sinon on attend le test et l'histoire avec impatience

J'ai fini, j'espère que sa va vous plair !

Salut salut tout est bon bienvenue parmi nous .

Je peus donc faire ma fiche technique?

Si je veus devenir pirate, j'ai juste à tuer, piller ou entrer sur un navire pirates??

Salut, j'aimerais savoir si je peus devenir chasseur de primes, j'ai bien réfléchis, et vut qu'il y a tellement peu de CP(Chasseur de primes) je suis sur de ma déscision. Donc est-ce que mon rp est raisonnable pour cela?

Pas de problème tu as le niveau RP suffisant pour faire Chasseur de prime je change ton groupe ^^

Merci, vut que je sais pas quoi faire j'ai un peu augmenté mon test rp.

Biensur je n'avais pas peur, je gardé mon calme et je lui répondais tranquillement "je ne renonce pas, on continue !". On navigua pas mal de temps sur la mer sans nourriture ni eau. Malgré la faigue, lemanque de nourriture de vivre, on gardé espoir, et on continuais à chercher une île. Soudainement, j'entendis une mouette volé au dessus de nos tête. C'était le signe d'une île proche. Tout à coup, on commença à ramer plus vite vers une silouette flou très loin. il fut peut de temps pour arriver sur a côte. L'île semblait désserte, alors notre méfiance état au rendez vous. On navigua autour de la côte pourtrouver une plage où on aurait peut s'arrêter. Enfin, on déposait nos piets sur le sol. Au premer plan on pouvait voir une plage magnifique entourait d'une forêt de cocotier. Je partis vite allé chercher desprovisions, pendant que Goupil nettoyer ses instruments avec un petit chiffon orange de coton. J'était dans l'épaisse et sombre forêt qu'était cette île. Tout en haut des cocotier, je voyais de nombreuse noix de coco. Mais subitement une noix se décrocha et tomba vers moi à toute vitesse. Par peur je fermi les yeux, j'était tétanissé et éffrayé. Quand je les ouvri, la noix était planté par une flûtte dans l'arbre en face de moi. Goupil était là, c'était lui qui m'avait sauvé, comme un bon sage, il me demanda de rester prudent. Il ajouta que le lait de noix de coco était délisieux. Et comment ne ps le croire après avoir vu le doux jus dégouliner sur l'écorse du cocotier. On embarqua une disaine de noix et repartit sur le bateau. Nostalgique comme je suis, je demandi à mon ami Goupil de faire un dernier tour pour que j'admire à nouveaux l'île. Il accepta gentiment comme je l'avais predit. Mais un homme vétu d'un long manteau noir, il portait aussi des lunettes de soleils. 'homme nous cria dessus subitement et nous demanda de lui donner notre argent sinon il tiré avec sa carabine. Je suis bien sur un vrai trouillard, alors je le supplia de nous laiser repartir, car on n'avai rien pour lui. Goupil jeta un sous dans le sable et ajouta:

Nous avons que ceci, et crois moi, si tu es provre, tu mérite cette argent, mais sinon tu n'es qu'une pourriture. Malgré tes vétements surement très cher, j'éssaye de croire que tu mérite cette argent.

Je ne comprenais pas Goupil pour une fois, l'homme en face de nous était évidement riche. Tout son costume avait l'air flambant neuf. J'entendis rigolait cet individu, son rire était térrifiant.

Pauvres merdes, je suis une ordure comme tu le dis, d'après toi je ne mérite pas cette argent, et bien si tu décide de ce que je mérite, je vais faire de même pour toi. Tu ne mérite pas de vivre, va en ENFER !!!

Le coup de feu rettentit, mon soufle s'arrêté pendant un instant, je touris a tête pour regarder comment allé Goupil. Celui ci n'avait pas bougé, et il était calme. Je le fouillais du regard pour trover une trace d'une balle ou de sang. Je fus même étonné de le voir sourire. Il se leva pendant que l'autre garçon était stupéfait.

Je ne crois pas que tu sois assez fort pour décider quand je mourrais.

Un geste, une lame, et l'homme était désarmer, il cria et partit à toute vitesse pour s'enfuir. Goupil prit la pièce toujours sur le sable à ses pieds. Il retourna dans le bateau, et je lui demandis comment il s'ensortit. Alors il répondu en me souriant.

J'ai eu de la chance, la balle à toucher ma flûtes dans la poche de mon manteau.

FIN

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