Bureau de l'amiral Aka Inu

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a journée avait commencé depuis déjà quelques heure pour l'amiral Aka Inu, il avait obtenu quartier libre aujourd'hui.Bien qu'il n'était pas du tout le genre de personne à s'éterniser dans un bureau, n'ayant rien à faire.Il décida de prendre un journal et de le lire tranquillement autour d'un café dans son bureau.Une beau fauteuil en cuivre l'attendait sur un bureau très bien ordonné.Mais ça n'était pas lui même qui s'était occupé de le rangé avec autant de délicatesse, non il ordonna à quelques marines de bas étages de s'en occuper en tant que corvées.Sakazuki se dirigea vers son fauteuil et s'y assit tranquillement.Il ouvrit son journal et lut toutes les dernières nouvelles de la presse.Le journal parlait d'un tas de pirate que Aka Inu aurait bien aimé arrêté.Ceux qui figuraient dans le journal étaient Monkey D. Luffy le neveu de Garp ou encore Trafalgar Law.Il s'agissait de tout un tas de racaille que Aka Inu comptait bien faire disparaître.Tout en continuant de siroter son café très gouteux, l'amiral continuait de lire les nouvelles, lorsqu'il eu la soudaine envie de stopper net les aventures de l'un de ses pirates.Il plia le journal,puis le déchira avant de se lever en trombe.Il éclata sa tasse de café d'un mouvement de main.Le sol était dégoulinant de café, puis d'un excès de colère il prit le journal et le brûla.Et de ce fait il décida de quitter Mariejoa pour aller à la recherche de l'un de ses pirates et de mettre fin à leurs routes.Aka Inu était amiral, même s'il n'avait reçu aucun ordre, il comptait bien partir à la recherche d'un équipage pirate.

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ais pour ça il avait bien besoin de quelques personnes pour l'accompagner et exécuter ses ordres.Il songea dans un premier temps à prendre sous sa tutelle quelques vice amiral pour être sûr de ne pas repartir bredouille puis il se rappela la présence de la sergent chef qui était sous les ordres de Smoker.Celui-ci étant en mission sans elle, il décida d'aller la chercher pour qu'elle l'accompagne sur les mers à la recherche de Law ou de chapeau de paille.Le sol de son bureau était recouvert de café, en effet il se fichait complètement de salir le sol de son bureau surtout s'il savait qu'un troisième classe allait certainement nettoyer cela.D'ailleurs, il n'attendit pas la venue de l'un d'entre eux.Il poussa un énorme cri strident et appela un marine.Il lui ordonna de trouver quelqu'un pour nettoyer son bureau pour qu'il soit flambant neuf à son retour sous peine de se voir infliger une terrible sanction.Aka Inu n'était pas du genre à plaisanter avec les ordres.Quand les ordres venaient du gouvernement il les exécutaient toujours alors un marine se devait de répondre à son devoir lorsqu'un haut gradé lui ordonne une tels chose.Puis il appela un autre marine, il le regarda d'un air colérique et lui ordonna de dépêcher un navire de cinquante hommes sur le ponts et ce dans les plus brefs délais.Ceci étant dit, il décida de se mettre à la recherche de quelques personne compétente pour son expédition.L'amiral Aka Inu était du genre à prendre se propres initiatives surtout lorsqu'il s'agissait de se mettre à la poursuite de pirate en tout genre.Il n'aurait aucun scrupule à leurs faire manger du gazons sous ses yeux.Il n'avait qu'une idée en tête la justice à l'état pur et il était bien décidé à étendre sa loi sur les mers.

-Maudit pirate.Je vais leur montrer de quel bois je me chauffe!

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ur ces mots Sakazuki quitta son bureau laissant à deux pauvres marines le soin de réunir à la fois une petite flotte de cinquante hommes et deux troufions pour nettoyer son bureau.Cela devait certainement être difficile d'être sous les ordres de cet amiral qui n'avait généralement aucune pitié pour ceux qui les contre disaient.Il aurait bien aimé tombé sur Tusuru ou Garp pour leurs demandaient de les suivre.Même si le grade d'Aka Inu était supérieur il n'était pas sûr que ces personnes âgées et fort en expérience le suive.Peu à peu, l'on ne vit plus l'amiral qui était déjà loin perdu dans ses pensées négatives.

Une arrivée esplosif

23ème jour de naviguation

Voilà plus de trois semaine qu'on navigue sur la mer avec cette vielle barque. Avec seulement quelques noix de coco et des fruits, nous avons eut du mal à surivre. Mais enfin nous sommes arriver sur une île. Le chemin qu'on avait entreprit était bien le bon. Heuresement que j'avais ma canne à péche pour prendre les petits poisson qui nager prèt du bateu. Goupil se charger des gros monstres des mers à coup de lame dans la gorge et autres tehniques. Je regardais les enfants courir en rigolant sur le port. Ils me réchauffaient le coeur. Je partit vite aller cherher des vivres pour teir encore quelques semaines. Malheuresement notre argent n'était pas infini, et il nous falait trouver vite un travail. Goupil marcha vers le centre de l'île sans aucune raison. Il s'avança dans les rues inonder de foule. Il s'arrêta devant un homme criant à l'appelle prèt d'un casino:

Venez, venez joué au poker !

Goupil intéressait par cette offre enta dans le hall du casino et y déposit son cercueil ave toute son argent pour recevoir quelques jetons. Il poussa la grande porte de la salle de jeu et entra dans un domaine où il fesait très sombre. La partie semblait déja commençée, mais Goupil n'hésita pas à prendre un siège pour s'assoir. Au bout de plusieus parties, Goupil avait plumé la plus part des joueurs et le stresse montait dans la salle. Quand il fut le moment de la final je demandi à Goupil d'arrêter car il avait amassé plus de la moitié du butin. Mais bien sur il refusa avec un large sourire sur ses lèvres. On leur servi des cartes, puis le donneur jeta les 5 cartes une par une au centre de la table. Goupil joua un jeton de 5, mais même avec un peu d'hésitation, son adversaire le contra avec un jeton de 10. Goupil souriat et lui demandi:

As-tu plus fort qu'une pair de trois ?

Pour qui tu me prent, bien sur que j'ai mieux qu'une pair de trois !!!

goupil souriat à nouveaux, il tourna 5 fois son jeton dans sa main, et joua un tapis, puis il ajouta:

Merci, tu viens de me dire que tu avais un jeu, plus fort une suite.

Je ne comprenait rien, oupil avait-il vu ses cartes, impossible, chaqu'un était en face de l'autres. L'homme stressa longtemps mais ria à la fin en fesant lui aussi tapis.
L'adversaire de Goupil jeta son jeu, et montra une full. D'un coup, il ria très fort, il était persuadé de gagné. Sur la table se trouvait une pair de 3, un roi, un 6 et 7. Cet homme avait deux roi dans sa main, qui lui fesait une trois roi et deux 3. Mais Goupil jeta son jeu, et ajouta:

J'ai gagné

Il avait raison, dans sa main il tenait une pair de 3, qui fesait un carré. la vitoire était parfaite sans bavure, Goupi l'avait litérallement battu. Et voilà qu'on repartais du casino avec beaucoup d'argent pour le plaisir de nos palais. On partit s'acheter de la nourriture, puis Goupil me demanda de se dirigé vers la marine. On demanda si on pouvait voir un lieutenent ou amiral pour parler au sujet des récompences.
On entra dans un bureau, et on nous demanda de rester tranquille. Des gardes partirent chercher l'amiral de se bureau. Pendant que j'était tout seule avec Goupil je lui demandi que fesont nous ici, et il me répondit:

J'ai trouvais un travail chasseur de primes, et je vais commencer aujourd'hui.

» Bureau de l'amiral Aokiji