Sortie de Calm Bett. Tokori, l'île aux armuriers. [pv Kirin]

Mihawk venait de poser pied à terre.
Il se retrouvait sur une plage de sable blanc et fin, il était exactement onze heure du matin, et le soleil, presque à son zenith, tappait fort, peu de nuages entravait la route de ses rayons bienfaisants pour certains, et néfastest pour d'autres, un vent chaud venait lécher, comme une flamme, la peau des badaux.
Beaucoup de monde était couché près de la mer, des hommes, des femmes, des enfants, des personnes âgées.
Il était habituel pour eux de venir, l'atmosphère à l'intérieur de la ville était lourd, et ils venaient ici pour entendre le clapetit des vagues, ainsi, avec de la chance, que pour être mouillé un peu par les goutelettes cristaline de l'eau iodé, qui pour eux était irritante au contact prolongé de la peau.
Un comble, il ne demandait qu'à se raffraîchir mais ne pouvaient pas se baigner.
A l'entrée de la ville bâti sur cette île un panneau était planter, on pouvait lire dessus que l'on se trouvait sur Tokori.

*L'île des armuriers, les meilleurs au monde, je n'ai qu'à demander des fourniture pour le futur équipage.
Je devrais aussi trouver de bons combattants ici, cette cité est comme Jaya et Mock Town, elle habrite les pirates, mais elle attire aussi de bons chasseurs de primes.*

Il mit donc un pied devant l'autre, et à grand pas, rentra dans cette ville, l'odeur et l'atmosphère y était totalement différente, il faisait toujours aussi chaud bien sûr, mais l'odeur de poudre gênait les narines, ainsi que celle du brulé qui se mêlait à l'air, comme si la nature redoubler d'effort afin de faire suer tout le monde, le bruit des coups de marteaux du forgeron sur sa lame, les bruits de coups de feus que les artisans testaient, tout cela donnait une sensation pesante, l'impression d'être frappé à tous moments.
Les bâtisse ici était en bois, le quartier civil, justement là où dormaient les habitants, et une fois plus profondément encré dans ces lieux, on arrivait aux auberges et aux bars, le lieu résidentiel des brigands.
Juraquile avança, il n'y avait pas que les différentes types de percussions qui étaient malsaines, d'autres activités illicite se tramait ici.
Une femme, presque devétu, portant juste un soutiens gorge et une jupe en cuires jouait les péripatétitienne, elle se déhanchait, tentant de séduire chaque personne pour de l'argent, un acte révulsant, et ce fait révoltant était très présent sur cette voix de Grande Line.
Il s'avança toujours dans le bruit des claquements métaliques, jusqu'à se retrouver assez enfoncé, là il vit une personne qui l'interressa.
Un jeune homme, gaucher de toute évidence, portant un sabre à sa ceinture du côté droit, il semblait avoir un certain talent, et s'il pouvait manipuler un sabre maudit comme celui qui était en sa possession, il avait un potentiel qui méritait d'être révélé.

Kirin était alors assis tranquillement sur un tonneau de vin. Lorsque cette personne au regard tranchant s'avança ; il l'a reconnue. C'était le célébre Mihawk, le plus grand manieur de sabre au monde ! Kirin pouvait même appercevoir dans son dos, son magnifique sabre qui était immense.
Il se leva, et, admirant la femme se déhanchant du coin de l'oeil, proposa a l'individu de bord en sa compagine. Le jeune éffronté pris alors le tonneau sous son bras et emmena le corsaire sur la plage. Ici l'air était plus sain, l'odeur de poudre ne traquait plus les narines de nos voyageurs. les bruits de tires avaient céssés.
Kirin s'assit dans l'herbe, tira d'un coup sec le bouchon qui retenait ce brevage tant convoité. Le vin coula a flots, le sable prennait une couleur de plus en plus foncé ; il tirait entre le violet et le bleu extrement foncé.
Kirin pencha alors la boite de pandore et exprima au capitaine :
' Il est si bon, n'en perdons pas une goutte.'
Le jeune gauché s'absenta alors un court instant et alla dissparaitre dans son bateau. Lorsque il revint, il tenait, dans ses mains, des provisions. Ce n'était, certe, pas des denrées de grande quailitée. Mais il avait dans ses bras du pain ainsi que quelleques fruits tenants longtemps lorsque l'on part en mer.
Les deux bretteurs s'assirent et mangèrent, buveaurs. Lorsque leurs gossiers firent rassasiés, Kirin se leva et sortit d'un geste que l'on pourrait qualifier de gracieux sont sabre de son fourreau. Il le pointa vers le corsaire et lui dit :
'Maintenant que tu es rassasié, pourrqis-tu me dire ce qui t'améne troubler ma tranquillitée alors que je chassait ?'
Tout en prononcant ces quelques mots, Kirin eut le temps de faire le tour du capitaine corsaire qui restait portant si paisible. Son regard n'avait jusque la pas changé et son expression ne s'était modifiée en aucun point. Kirin reffit le tour tout en prononcant a nouveau quelques paroles qui n'avaient pas l'air de perturber le bretteur :
'Alors que vas-tu faire ?'
Le jeune sabreur n'était pas le meilleur manieur de katana du monde mais il savait ce defendre. Néanmoins il était tellement stressé que ca lame frisonnait légerement ; Mihawk pouvait le sentir ...

[HRPG : Desolé je suis pressé ]

Le jeune homme, qui était assit sur un tonneau demanda au corsaire de le suivre sur la plage.
Soit, comparé à cette atmosphère pesante, bien que la plage n'était pas le paradis, elle était un bien meilleur lieu de discution.
Kirin toisa rapidement Mihawk, il l'avait forcément reconnu, il prit un tonneau contenant certainement une denrée déléctable sous forme d'élixir.
Il se dirigèrent donc vers une berge, différente du point d'arrivée du grand bretteur, il y avait là de la verdure.
Un contraste total avec le climat de la ville, à l'instar de l'autre plage l'air y était plus réspirable.
Une brise suave régissait, contrairement au vent pesant des autres lieux.
Le soleil était désormais à son zenith, plutôt, il l'avait dépassé, il était précisement midi huit, le ventre de Juraquile qui n'était toujours pas rassasier.
La chaleur était ici supportable, justement grâce au zéphyr qui prédominait, l'air transporté l'humidité marine, et le bruit du claquement des vagues sur la côte était agréable, la mer était flegmatique, seul quelques vagues étaient plus grandes les unes que les autres, et venait compléter le phénomène d'érosion du vent sur la falaise à laquelle on pouvait accéder en longeant la côte.
L'interlocuteur du capitaine corsaire, après avoir dévoilé ce que contenait le foudre, s'absenta, tout comme ce dernier avait lorgner Mihawk lui aussi avait eu l'occasion de jeter un bref coup d'oeil à ses mensurations.
Il était mince, d'une taille normale, semblait être âgé de la vingtaine.
Son sabre était de très bonne manufacture, comme l'avait prévu oeil de faucon, ses vêtements était plutôt sobre.
Ce n'était pas une montagne de muscle mais il semblait plutôt dru, et râblé dans le maniement du sabre, ce constat, n'était basé que sur les apparence et donc moyennement fiable.
Pendant que le possesseur du sabre maudit allait sur son bateau chercher de la nourriture l'autre épéiste se mit à son aise et s'assit confortablement dans l'herbe.
L'odeur était vivifiante, l'air étant débarrassé de certains de ses inconvénients par les différents herbacées et arbres alentours, lorsque Kirin revînt, douze minutes avaient passé, il était midi et demi.
L'appareil digestif fut saturer, Mihawk avait pu assouvir sa fin, et grâce au liquide qui découlait du fût il étancha sa soif.
C'est le moment que choisit le jeune homme pour se lever et braquer son sabre sur le meilleur des bretteurs, une tentative desespérée, il avait du potentiel mais il n'était pas bien éxploitait, il aurait été dommage de le tuer.
Toujours avec son ataraxie impérturbable, le visage impassible le questionné répondit.

"Moi, je suis ici par hasard, mais je recrute du monde, tu me paraissais intéressant, ton sabre n'est pas n'importe quoi, et d'après ton aura tu as un énorme potentiel, et parésser comme tu le faisais ici donnait une piètre impression de toi."

Comme à son habitude le corsaire parla avec parcimonie, n'en disant ni trop, ni pas assez, ses mots étaient des euphémismes et donnaient une éxplication succincte.

"Mais si tu tiens à te battre et mourir, il se releva rapidement et sauta en arrière pour se dresser en face à face direct avec ce qui pourrait être son ennemi, je suis à ta disposition."

Il arracha le pendentif de son cou et dégaina une petite croix, un jouet, dont il comptait se servir.

"Malheureusement je n'ai pas plus petit."

[Hrpg : desolé je part on terminera le 19 aout donc d'ici la tu peut rp ailleurs]

Edit Mihawk: Finis en un post, je ne serais pas là tout le long du mois d'Aout.

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