Un marine chez les pirates. [Pv Staire Laihos]

"- Aaaa Bicycleeettteuuuuh !!! "

Et c’est ainsi que l’amiral Ao Kiji rentra dans le rp. L’eau de la route de tous les périls était très calme, seul des petites vaguelettes venaient perturber sa petite promenade mais la ligne de glace qui se dessinait derrière le vélo de l’amiral était régulière et bien droite. A plusieurs reprises il avait croisé des monstres marins mais ces derniers n’étaient pas de taille et ils avaient fini en glaçons. Un très beau soleil se levait à l’horizon, la lumière aveugla pendant quelques minutes l’amiral et lorsque ses yeux s’étaient habitués il remarqua une île au loin. Puisque ses muscles commençaient à fatiguer, Ao Kiji décida donc de faire une pause et bien sûr une petite sieste soi-disant passant. A peu près une heure après avoir vu l’île, Ao Kiji y accosta. Il s’arrêta prêt du port et après avoir accroché sa bicyclette à un poteau Ao regarda où il était tombé puis lorsqu’il remarqua tous les vaisseaux pirates abordé au port il se dit :

* Hé merde ! Moi qui voulait dormir… *

Sur la pointe de pieds, il se faufila entre les bâtiments mais comme il était assez tôt, il ne pensa pas rencontrer des pirates puisque ces derniers passaient leur temps à boire comme des poivreaux. Arrivé à la place, Ao Kiji regarda à droite puis à gauche et il se posa sur un transat pour se taper une sieste. Il posa son cache-yeux sur la tête et il piqua une sieste mais en grand brouhaha le réveilla aussitôt, il leva les yeux pour regarder autour de lui et une dizaine de pirate le regardait. Il reposa sa tête sur le transat et il se mit à ronfler.

« - Non mais tu te fous de notre gueule ou quoi ?? lança un pirate à l’amiral.
- Tu sais ce qu’il leur arrive aux marines qui viennes ici ? demanda un autre. »

Pour seul réponse, Ao Kiji émit un gros ronflement ce qui énerver d’avantage les pirates et l’un d’eux s’approcha et shoota dans le transat ce qui fit tomber l’amiral par terre. Ce dernier resta coucher un moment puis il se releva et remit son cache-yeux sur le front. Du haut de ses 3 mètres, Ao Kiji regarda le pirate qui n’était pas très impressionnant et il demanda :

« - Dites-moi ? Où sommes-nous exactement ?
- Que ? Tu te fous de ma gueule ou quoi ?????
- Et bien non, alors ou sommes-nous ?
- A Jaya tête de con !
- Oooh ! Mais alors Don Flamingo est là alors ?
- Ouai mais tu le verras pas parce que je vais te crever avant.
- Moi qui voulait me reposer, je vois que vous êtes têtu donc je ne pourrai pas me défilé. Tant pis. »

L’air se refroidit lentement et une fine couche de glace recouvrit la joue droite de l’amiral. Il prononça ses trois mots lentement : « Ice Time capsule » et une longue couche de glace se précipita sur le pirate qui se congela rapidement et dans un cri d’effroi la glace le transforma en statue. Le pirate resplendissait grâce au soleil dont les rayons se reflétaient sur la glace qui recouvrait entièrement la crapule. Puis, Ao Kiji s’approcha du pirate et d’un coup de pied il le brisa en mille morceaux. Puis il regarda les autres pirates et il leur dit :

« - Mon nom est Ao Kiji, le faisan bleu amiral de la marine. Vous êtes vraiment stupide. »

Puis il regarda la foule compact qui s’était réunit autour d’eux et dans le groupe et remarqua tout de suite une belle jeune femme et il lui adressa un petit signe de la main.

« Alors Staire Laihos, comment vas-tu ? »

J'avais navigué à bord d'une sorte de petite barque, comme j'appelais les petits navires, que j'avais piqué sur l'île d'avant qui ne me semblait pas si loin.. J'étais comme une fugitive, ou entre autre mon esprit vagabond ne sortait pas de mon corps. Oui, j'étais allié à Don Quichotte maintenant, mais il faut dire qu'une chose me gênait toujours... comme une gravure profonde. J'étais d'un naturel perturbé, ignorante et dans la lune. C'était bien ça qui me coûtait une dispute. J'avais fais tant de chemin, pour finalement pas grand-chose... je n'avançais pas ici.

J'ai toujours aimé ma douce folie de mon instinct de félin, mais maintenant, je ne pouvais plus le libérer. J'étais entre quatre murs et quelques chaînes pour me retenir. J'attendais une chose, je le savais, mais quoi ? Moi-même je l'ignorais. Cette chose serait la fameuse clé de ma liberté... à mes risques et périls qui seront surement élargie. Mais j'aimais le défie, la peur, le danger... mais surtout, c'était ma folie sadique qui me donnait cet air dans mes yeux, celui qu'on tente d'oublier, celui que l'on ne préfère pas croiser. Mon esprit vagabond m'avais fait traverser beaucoup de choses, avant de me ramener sur les bords de la « justice » entre parenthèse. Mais je me sentais toucher le fond... comme si je regrettais l'affront que j'avais eu avec lui.

Au fond, je n'étais qu'une boule de nerf qui prenait plaisir à voir ses semblables mourir et ça, personne ne pourrait jamais le changer. Nous sommes les seuls animaux capables d'éprouver du plaisir en voyant un massacre de nos semblables, n'est-ce pas ? Oui, je suis le genre de personne qui ne résonne que sur son propre point de vue, une idiote comme pas deux, peut être, mais une jeune femme réaliste. J'avais enfin mis pied sur terre, à l'île de Jaya, me semblait-il. De nombreux navires pirates étaient regroupés sur l'île, parmi eux comptait les navires de marchandises qui faisaient les détours des îles et leurs variétés. J'avais déjà navigué dans ces bateaux blindés de truc utile, au risque de mettre fait prendre dans un assaut de pirate. J'avais survécu jusqu'à là, alors je ne m'en faisais pas.

Il était d'un grand normal que je traîne dans le coin, Don Quichotte lui, était aussi ici pour des affaires avec son autre bras droit, que j'avais vaguement vu. Je ne m'intéressais pas vraiment au monde alentour, à vrai dire, je m'intéressais juste a ma petite personne égoïste et a deux trois raccrochement de souvenir. J'étais peut-être du grade corsaire, mais j'éprouvais toujours un mépris envers les marines. Ils disaient être bon, mais certain n'était pas comme il le prétendait. Faute d'expérience... Je ne niais pas pour autant qu'ils n'étaient pas tous ainsi, mais il y avait toujours un sentiment négatif, suivant la pensée impulsive quand on me parlait d'eux. Cela faisait déjà plusieurs heures que j'étais sur les abords de cette île et il ne m'était arrivé que des petites bagarres inintéressantes avec quelques pirates acharné. Depuis que j'avais découpé deux hommes sur la place à l'aide mon fruit du démon, bizarrement, on me fuyait plus qu'on m'approchait, même si je savais que ce n'étais pas très bon pour moi de faire ça, j'avais gardé mes petites habitudes, dirait-on.

De toute façon, je n'avais pas de but précis pour le moment, je savais ce qui allait ce préparé plus tard, mais pour le moment, j'avais décidé de ne pas participer à la petite « affaire » de Don', je m'amusais, comme une idiote, mais en attendant, j'étais moins retenu à le suivre comme un chien. Mais je servais à ça, après tout, en d'autres thermes... Je n'avais plus eu de dédoublement de personnalité depuis que j'étais avec Don', peut être car, ma vie était pour le moment moins lourde. Même si mon esprit était confondu, ma schizophrénie devait avoir pris quelques vacances... mais cela ne durerait pas comme je le voulais. Il était clair que ça me suivrait, quoi que je face. C'était la larve qu'il ne fallait pas trop piétiner, celle qui reste comme une cicatrice, parce que vous n'êtes mêmes pas foutu de vous rappeler de votre misérable passé sans taper une crise de nerf. Oui, j'étais un boulet, mais malgré les apparences. Je sentis alors un grand froid et là je compris.

C'était l'amiral Ao Kiji qui était sur place, j'étais sur de moi. Et ma pensée fus affirmer quand je vis le colossal amiral prononcer lentement trois mots avant que le pirate qui lui avait porté affront soit complètement congeler. Son air à travers la glace était visible comme dans un reflet, il était complètement terrorisé. Remarque, je comprenais ce pauvre gars, déjà d'une il avait osé faire autorité à un marine qui avait comme grade amiral, mais en plus, son opposant était un glacier vivant... ou presque, en plus d'être aussi grand qu'un géant, ou presque. Mes yeux jaunes luisaient sous ma capuche qui me faisait de l'ombre, cachant mon visage satinée. Un sourire denté apparut sur mon visage quand Ao Kiji donna un coup-de-pied dans le bloc de glace qui éclata en divers morceaux. J'avais déjà croisé cette amiral, oui quelque part, mais ma mémoire pouvait me donner des faux comme elle le faisait déjà si bien.

La foule commença à s'écarter et déjà la plupart étaient partis, surement de peur de subir le même sort, de plus que le colosse avait dévoilé son identité devant la foule, composer en majorité de pirates qui avaient admiré le spectacle. Les plus courageux n'avaient pas bougé d'un poile et attendaient, de voir la réaction de l'amiral glacé, mais celui-ci sembla tourner son regard sur moi. A travers ma capuche, il avait dû reconnaitre mes yeux de félin, surtout au moment où j'avais levé la tête pour le regarder du haut de son bon 3 mètres. Ce geste m'étonna et je mis un moment avant de réagir. L'amiral s'approcha de moi et me salua, avec mon prénom et mon nom. La foule autour de nous resta comme clouté, depuis tout à l'heure. Je lui souriais en levant les yeux pour pouvoir le regarder, Oui car, comme on s'en doute, ce n'est pas facile de voir quelqu'un d'aussi grand.

- Oh, bonjour Ao Kiji... dis-je calmement, Mon humeur, je l'ignore comme la plupart du temps... Et toi, que fais-tu ici ?

Je tournai mon regard vers la foule qui nous entourait. Tous nous regardaient, comme des chiens attendant un ordre de leur maitre. La plupart partirent après que je les ai dévisager comme s'ils n'avaient rien à faire ici, d'autres lancèrent un grognement avant de rejoindre leurs occupations.

- Tient, j'ai l'impression qu'on ne va pas être bien tranquille ici... Avec tous les pirates qui heurtent le coin...

Ao Kiji ne répondit pas tout de suite à la question de Laihos, il se contenta pour l'instant de s'asseoir afin d'être à une hauteur satisfesante pour éviter que son interlocuteur ne se fasse un torticoli, même s'il aurait préféré se coucher mais entouré d'autant de pirate, ce n'était pas prudent. Surtout que la pluspart sauraient surement poussé par leur orgueil pour affronter l'amiral et cette idée ne plut pas du tout à sa légendaire fénéantise. Après s'être assis Ao Kiji regarda attentivement la jeune femme, elle avait une peau d'un teint hâlé et elle avait de beau cheveux long, une femme parmis tant d'autre qui plaisait beaucoup à l'amiral. Dommage qu'elle soit pirate ce disait-il pour lui. Après avoir jeter un bref coup d'oeil derrière lui, Ao Kiji s'étira pendant quelques secondes et il répondit enfin à la corsaire.

" - Et bien, en faites, je suis arrivé ici par le pur fruit du hasard, je voulais me balader voilà tout. Et puis comme nous sommes à Jaya, je me demandai si Don Flamingo était ici. Mais tu as raison, je ne pense pas que nous serons tranquille ici du moins tant qu'un d'entre eux ne sera pas pris par l'envie de m'attaquer de nouveau. J'espère que ma petite prestation les a refroidi. "

Ao Kiji regarda une nouvelle fois autour de lui. La plus part des pirates ou des habitants de Jaya n'était pas resté ou du moins ne leur prêtaient pas d'attention, d'autre au contraire c'était éloigné et ils devisageait l'amiral et lorsqu'ils rencontrèrent leur regard, les pirates détournaient les yeux sans insisté. Il remarqua d'ailleurs que certaines personnes regardaient Staire avec un regard qui n'était pas très catholique, cela il le comprenait puisqu'elle était vraiment très belle, alors du tac au tac il lui demanda en portant une bouteille de saké à ses lèvres :

" - Alors Laihos, toujours célibataire ? Une jeune fille comme toi devrait pourtant ne pas avoir de mal à trouver chaussures à son pied... "

(Post un peu cours, pas le temps d'étoffé, exuse ^^)

( no problem's, c'est la qualité qui compte ^^ )

Je fixais l'amiral dans les yeux, au plus profond, comme si je semblais tout de même pendre garde. Mieux valait être très méfiant que naïve, de toute manière. Mon regard de félin, transpercer par le soleil lui donnait un air aigu, comme s'il était perdu au fin fond du néant. L'amiral ne répondit pas tout de suite à ma question, il resta un moment immobile avant de s'asseoir en face de moi. Ce qui me fit moins tordre la nuque à la lever pour le regarder. Je faisais dans les 1m70, je n'étais pas bien grande non plus.

Il me semblait toujours aussi grand et impressionnante, même assis, sa carrure et ses épaules larges laissait deviner qu'elle force herculéenne on rencontrait derrière cet étrange personnage qu'est Ao Kiji. Même s'il semblait bien muni de flemme, ce n'était pas vraiment le genre de personne avec qui j'aimerais avoir des ennuis. Il aurait vite fait de me réduire en charpie, comme il la fait avec l'autre homme sur la place. Le pouvoir de la glace était effrayant à ce point de vue, il la maniait avec expertise et il était vraisemblablement très fort. Il ne devait pas combattre pour rien et il ne devait pas avoir trop de mal a exterminer ses ennemis en les congelant.

D'un autre point de vue, la glace me semblait douce, j'aimais la froideur qu'elle dégageait, allé savoir pourquoi je préférais le froid au chaud. Les plages et la bronzette, ce n'était pas mon truc. Même si j'étais bien bronzée, c'était de naissance. Je n'avais pas passé les ¾ de mon temps à me prélasser sur la plage sans savoir quoi faire de ma peau. L'amiral s'étendit quelques secondes, d'un air toujours fatigué. Il devait dormir une bonne paire d'heure par jour, contrairement a mon actif. J'avais besoin de bouger, je débordais toujours d'énergie, à cause de mon insomnie. Quand j'étais fatigué, je ne trouvais pas le sommeil. Je ne le trouve que perturber, une ou trois heures. Contrairement aux félins, je dormais beaucoup moins qu'eux, mais j'avais leurs caractéristiques les plus proches.

Autant côté physique que côté mimique, petites habitudes ou alimentation. Ao me répondit enfin. Alors, comme ça, il venait juste par petite ballade habituelle ? Il devait s'ennuyer, dans la marine. Il avait de quoi faire, hors de ça, pour éclater la ganache a toutes les personnes, ou bien même la grande majorité, qu'il voulait. De plus, il était donc évident qu'il était au courant de la destination de Don'. Comme je vagabondais dans la ville pendant qu'il faisait affaire, cela voulait dire qu'il était dans le coin. Comme l'avait dit l'amiral glacial,la communauté qui nous entourait en chuchotant avec leur entourage ne nous lâchait pas d'un oeil. Comme s'ils n'avaient jamais rien vu, ceux-là. Ils semblaient attendre une sorte de bagarre générale, peut-être ?

C'était une situation assez pénible que d'être observé par des abrutis qui cherchent les ennuis et de ceux qui aimeraient bien me tirer dans leurs chambres... De mon côté, ce n'était pas vraiment mon fort, je savais très bien m'en passer, ça ne m'intéressait pas, ça ne me concernait pas... Je ne peux pas faire une chose sans avoir de flash back... alors ne compter même pas à aimer.

Tant que mon souci personnel était toujours à la surface, j'étais une sorte de faiblesse. Il semblait qu'Ao est quand même réussi à faire partir beaucoup d'entre eux. Les autres voulaient surement se faire tuer, congeler et éclater en trois mille morceaux. Je tournai mon regard vers l'amiral qui avait prit une bouteille de saké. Il venait de me poser une question bien comique... Je me contentai de lui sourire un moment. Puis mon regard se tourna vers les hommes qui nous regardaient. Ma pupille semblait s'agrandir comme un prédateur qui allait bondir sur sa proie. Je m'approchai délicatement d'un homme que j'attrapai par la nuque et que j'embrassai. Etrange, n'est-ce pas ?

Attendez le résultat... L'homme commença à devenir si blanc que ses veines ressortaient d'un bleu ciel, glacé. Je lâchai prise et une substance sortit de ses narines et de ses yeux. C'était du métal fondu, ce que je contenais dans mon corps, j'étais capable de le transmettre dans le corps des autres pour boucher leurs vaisseaux sanguin et faire remonter le tout à la surface... Les autres hommes reculèrent doucement comme pour ne pas réveiller une nouvelle fois la bête.

- A qui le tour ? Dis-je avec un sourire denté.

Les autres hommes partirent finalement. Mais je n'étais pas bien sûr qu'ils n'allaient pas revenir. Connaissant les pirates, ils allaient surement aller chercher leurs petits copains pour venir nous casser la tronche, s'ils y arrivent. Car, ils semblaient effectivement aussi en vouloir au faisan bleu d'une certaine manière. Je retournai à coter de l'amiral en fourrant mes mains dans les poches de ma chemise noire, Le coin était à présent parfaitement désert, il n'y avait que des grincements qui étaient dérangeant.

Un léger sourire se traça sur mes lèvres framboisé, je regardai l'amiral dans les yeux, ma pupille était à présent normal. C'était juste le temps d'une courte petite ballade, qui avait tué un pauvre homme qui aurait pu croire que j'allais accepter d'aller avec lui dans une chambre d'hôtel.

- Tu sais, depuis que j'ai perdu la trace d'Urahara Kisuke et d'ailleurs que mon passer a été quasiment effacer de ma mémoire... j'ai d'autres choses plus importantes à m'occupé que d'un homme avec moi. Puis, de toute manière, je ne vois pas à quoi ça me servirais... J'ai pratiquement toujours des visions quand je vie des moments avec des personnes, alors si c'est pour me rappeler Kisuke, je préfère ne pas tenter le coup...

Mon sourire s'effaça doucement comme si un coup de vent venait de balayer un mot écrit sur le sable, comme si le temps avait laissé des traces sur une pierre perdue. Mon regard fixait le néant, la tête baissée. C'était une sorte d'affront pour moi, de pouvoir encore parler d'un passer qui me prenait pour une imbécile, sans doute que j'étais, surtout à raconter ma misérable vie à un marine en face de moi. Que voulez- vous... Ca doit arriver à tout le monde, parfois, dire tout d'un coup comme ça à l'inconnu, ça peux faire du bien.

Plus aucunes larmes passagères ne traversait mon visage, me semblait-il que j'avais déjà été assez assassiné par ce genre de sentiment. Devrais-je tout oublier ? Cette question me trottait dans la tête. Mais dite moi... Quand on aime, on ne pas, pas vrai ?... Je fermais doucement les yeux laissant le vent qui commença à se lever caresser mon visage. J'avais l'air d'une pauvre désespéré, surement que oui, mais peu m'importait. Toute personne a ma place pourrait ressentir cette chose dur et froide dans ma poitrine... comme si on m'avait arraché le coeur et qu'on me l'avait remplacé par un coeur en pierre, glacial.

Ao Kiji se sentait mal avec cette jeune femme, elle était froide mais pas aussi froid que lui. Heureusement d'ailleurs. En tout cas, ne pas connaître son passé est une chose horrible et il ne souhaitait ne jamais connaître pareil tourment. Pour l'instant, il contempla le pirate, noyé dans un métal qui dégoulinait encore par les orifices de l' hors-la-loi. L'amiral retint un vomissement en simulant une toux. Après c’ être remit ce cette émotion qui lui remua les entrailles, il se rappela soudainement qu'il n'avait pas déjeuné, trop fatigué pour tenir des couverts il avait préféré sa bonne vieille sieste : sa meilleur copine. Voyant que Staire perdait son sourire et ce, à cause de sa remarque, Ao Kiji essaya de lui remonter le morale et lui sculptant un dauphin dans la glace mais il n'était pas sûr que sa fasse de l'effet. L’amiral s’approcha d’une flaque d’eau et il posa sa main à la périphérie de l’eau. L’air se refroidit lentement et une forme disgracieuse s’éleva lentement puis après avoir former un sort de montagne, Aokiji posa sa main sur la glace et cette dernière changea une nouvelle fois pour prendre la forme qu’il avait imaginé dans son esprit.

(PS : j’ai pas trouvé de chat ! J’espère que le dauphin te plaira !)

Un marine chez les pirates. [Pv Staire Laihos] 31gjc3

Un marine chez les pirates. [Pv Staire Laihos] 31gjc3

Il se retourna vers Lai’, fière de lui, le sourire aux lèvres et il dit :

« - Regarde, il est pas mal mon dauphin, non ? Avant je savais congeler un bonhomme maintenant je sais faire des sculptures sur glace ! »

Malgré cela, il se demandait bien se qui pourrait plaire à cette jeune fille amnésique. Il s’approcha d’elle et posa sa main sur sa tête. Il la caressa comme un père caresse sa fille et il dit doucement à Staire :

« Vois-tu… Tu souffriras tant que tu n’oublieras pas ce Kisuke. Le passé, c’est du passé. Si on reste dans cette époque, on fini par si enchainer soit même et après, on ne peut plus avancer. Le passé ne sert qu’à éviter de refaire chaque fois les mêmes erreurs et à se remémorer le bon temps. Pourtant jeune fille… et tu peux me croire, ne pas connaitre son passé est surement préférable dans certains cas. »

En parlant ainsi, Aokiji se remémora sans le savoir le génocide des archéologues où il a emprisonné son ami, Sauro, dans la glace. Il ne regrettait pas ce qu’il avait fait, cela aurait été la prie des choses mais il aurait voulu à ce moment là, ne jamais être appelé pour le buster call. Il s’éloigna de quelques pas du corsaire et il lui demanda si elle voulait manger un morceau dans un restaurant et si elle souhaitait rester encore un peu avec lui.

PS : Excuse moi pour le retard, j'ai pas pu aller sur mon pc le week-end précédent !

(Ohhh j'adore les sculptures :3 trop mimi ^^. Moi je n'étais pas trop là non plus alors, ce n'est pas grave xD )

Je sentais comme une grosse couche de glace venir traverser ma poitrine et prendre mon coeur comme cible. C'était peut-être le métal qui constituait mon corps, qui allait prendre le relais et couvrir la totalité de mon coeur, comme une épave, abandonné sur la rive. Mon regard suivant le néant, je me rappelais de bref passage avec Kisuke, ce que je n'avais pas oublié, ce qui m'était revenu. Je restais dans ma petite bulle, comme seule dans un coin renfermé. Je revins lentement à la réalité, battent des paupières, un peu beaucoup perplexe d'avoir laissé l'amiral me regarder sans parole. Il n'y a pas grand-chose à dire dans ces moments-là, ceux qui sont mélancoliques et effacer. J'avais sentis le malaise d'Ao Kiji, surtout en « admirant » le beau travail que j'avais effectué en le tuant de la sorte. C'était plus sadique que pour m'amuser, peut être cette graine de folie qui revenait lors ce qu'il s'agissait de tuer un semblable.

Je relevai la tête quand le marine toussa, surement pour dissimuler le dégout de voir l'homme encore souffrent, pas encore mort. Il mourrait à petit feu, comme pour lui donner souffrance avant que ses cendres soient confiées au vent. Je restais un moment à le regarder de mes yeux inexpressif, aussi noir que les plus profonds ténèbres. Seule une petite lumière dans mes yeux étaient visibles. L'amiral partit près d'une flaque d'eau et il plaça sa main de sorte que la flaque se refroidisse. Le vent geler me fit frissonner, je recouvris mes cheveux détachés de ma capuche.

Je levai doucement mon minois pour apercevoir l'espèce de monter de glace en un dauphin, sculpter dans cette même prise. L'amiral avait beaucoup d'imagination, sa figure était très bien réussite. Elle était d'ailleurs, même magnifique. En relevant ma tête, mes yeux reprirent couleur d'un éclat jaune de félin. Je souriais doucement aux paroles de l'amiral à propos de sa sculpture de glace qui était bien réussite. Elle avait été sculptée dans tous les détails, sans aucun défaut visible. J'aimais l'art, dans plusieurs formes, mais la sculpture était surement ma préférer. Pourquoi ? Je trouvais ça intriguant, qu'une personne est de tel talent pour pouvoir représenter une autre personne en la sculptant, ou alors un animal quelconque. Je trouvais ça captivant, comme si c'était la vraie personne qui était en face de nous, prise dans une certaine position.

Je rabaissai doucement ma capuche quand le vent frais fût passé, enlevant ma chevelure de sous ma chemise. Quelques mèches venaient couvrir mon visage, à moitié gelé par la température, mouillée. L'amiral s'approcha alors de moi et pausa sa main sur ma tête, ce qui m'étonna et ce qui me fit ouvrir de grand yeux surpris. Je le regardais fixement, il caressait doucement ma chevelure comme un acte d'une certaine sorte de fraternité. Je n'avais pas été vraiment exposé à une douceur pareille, depuis que comme une pauvre rescapée, je m'étais retrouvé à ne plus me souvenir de rien. Ses paroles étaient vraies, mais même si j'avais un air froid, j'avais du mal à oublier une personne qui avait beaucoup compté pour moi. Je me pausais en vérité, trop de questions sur ce qui pourrait arriver dans l'avenir. Si je venais à revoir cette personne, je ne serais pas comment réagir.

J'étais peut-être trop encré dans le futur, au lieu de penser au présent, mais j'avais déjà perdu le passer et j'avais du mal à le digérer. Je baissai les yeux une nouvelle fois, un doux sourire se traça sur mon visage. Je savais qu'il avait raison, je le savais... mais est-ce que j'étais devenu trop faible pour pouvoir affronter le futur et laisser mon passer se noyer ? Il me faudrait du temps, du temps. L'amiral me demanda alors si je voulais rester un peu plus de temps en sa compagnie et si ça me disait d'aller manger avec lui dans un restaurant de la ville. Je relevai mes yeux pétillant, mon sourire était toujours tracé sur mon visage satinée.

- Bien sûr, je ne vais pas refuser de passer un peu plus de temps avec toi, se serait absurde de ma part et de toute manière, je n'ai vraiment rien de mieux à faire. Je connais plutôt bien cette ville, j'y étais déjà venu avant, alors je connais un endroit sympa, si tu veux bien me suivre.

Je pausai ma main sur la sienne pour qu'il l'enlève de ma tête doucement, puis je partis en direction du coeur de la ville. Quand nous fûmes partit de l'endroit ou le corps de l'homme mort gisait, les habitants revinrent pour trouver ce corps mort, lait à voir. Il devait y avoir bon nombre de personne sensible qui avaient dû vomir en voyant le reste de cet homme qui allait surement se décomposer dans les heures à suivre. Dans le centre pile de la ville, les gens déambulaient et les bruits s'amplifiait. J'avais poussé tous les gens qui encombraient le chemin de l'amiral et moi sans demander pardon et ceux qui voulurent protester se retinrent en voyant l'amiral de la marine qui m'accompagnait, du haut de ses trois mètres. Nous débouchâmes devant une grande entrée de restaurant, là où des gens mangeaient dehors, près de la mer. Nous entrâmes alors et je regardais autour de moi l'étendu du restaurant.

Il y avait deux étages, de quoi fournir assez de place pour tout arrivant. Finalement, nous nous fîmes placer par un serveur qui nous laissa monter le grand escalier du milieu de salle et nous fit installer dans une table en haut à gauche. Une drôle de musique jouée à l'accordéon tassait les bruits du restaurant où nous étions. J'attachai mes longs cheveux. Installé sur la chaise en face d'Ao kiji. Mes yeux traversaient la pièce avec étonnement, il y avait beaucoup de choses que je n'avais jamais eu encore l'occasion de voir. Des lumières bleutés comme la couleur de la mer illuminait le plafond, laissant voir des sortes de peinture de diverses bateaux. Le serveur nous apporta le menu, sur l'espèce de grand livre. Je lui redonnai de suite le miens. Il ne comprit pas et quand il ouvrit la bouche pour parler, je lui dis :

- Oh, ne vous en faites pas, moi je prends votre spécialité du jour.

Le serveur referma la bouche et me souris en haussant les épaules.

- Très bien, comme vous voulez... et pour vous, monsieur ?

Le serveur dû lever la tête pour regarder Ao, même assis. Il semblait un peu beaucoup impressionner par l'amiral, comme la plupart des personnes qui le voyaient. Un sourire moqueur traversa mon visage en voyant l'air troubler du serveur qui n'avait surement jamais vu quelqu'un d'aussi grand et qui devait imaginer comment l'amiral devrait être géant en se levant.

Aokiji suivit docilement la jeune corsaire qui devait sûrement débarrasser mieux que lui les lieux où l'on pouvait manger correctement. Même si, ce lieu de débauche des pirates ne devait sûrement pas offrir des restaurants grands luxe comme on le trouve sur Shabondy. Il regarda une dernière fois en arrière se demandant si les abrutis qui se trouvaient sur la place auraient la lumineuse idée de se débarrasser du corps. Mais cela n'était pas son problème. Ao Kiji suivi donc Staire dans le dédale de rue en terre où les poivraux de la nuit passée se vidait l'estomac et où d'autre finissait de cuver au milieu de la boue et pour les plus chanceux, sur les pontons de bois des établissement qu'il fréquentait la nuit. Pourtant malgré les quelques saoulards qui jonchait le sol, la plupart des habitants et des autres pirates était encore sobre. L'amirale regardait avec consternation le manque de délicatesse dont faisait preuves la corsaire et sentait tout au si utilisé par elle pour éviter les confrontations lamentable, ennuyeuse et bouffeuse de temps. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent dans une partie de la ville qui était autrement plus classe que le "centre-ville", où se trouvait un restaurant fort convenable, tout en bois, comme le reste de la ville d'ailleurs. Le restaurant se tenait sur deux étages et possédait une grande terrasse où il y avait déjà plusieurs personnes qui mangeait en discutant calmement. Le contraste était réellement saisissant, de l'autre coté des palissades, on avait un lieu de débauche, sale et putride, et de l'autre, un lieu "chic", calme, reposant où flottait une bonne odeur de poisson.

*Sushiiiiiiiiii.........* pensa le marine avec une légère goutte de salive qui dépassait de sa lèvre.

Un serveur se présenta devant eux et les emmena à l'étage, il leur trouva une table simple près d'une grande fenêtre où l'on pouvait apprécié la flore locale, flore regorgeant de plante tropicale, d'arbre immense, refuge de nombreux animaux, qui ne devait pas approché souvent des la ville, vu le tapage qu'ils faisaient jour et nuit. La table était simplement décoré, une nappe blanche sur le quel était déjà dépose les couverts : des assiettes en porcelaine et des couverts en argent.

* Très raffiné, je suis charmé * pensa l'amiral.

Le serveur allait demander ce que Staire voulait mais cette dernière pris les devant et coupa le serveur pour lui demander le plat du jour. Ce dernier était un peu choqué mais il ne dis rien. Quand à Aokiji, la prompteté de la corsaire le fit sourire. Le serveur se tourna alors vers l'amiral et lui demanda ce qu'il voulait.

" - Et bien, j'aimerai savoir si vous avez de sushi ?
- En effet, nous avons monsieur.
- Et bien je fais vous prendre des nigirizushi et des makizushi. Si possible, du toro avec les nigirizushi.
- Bien monsieur, cela sera fait monsieur.
- Parfait !! "

Aokiji se frotta les mains et regarda la corsaire dans les yeux. Il sourit puis il se releva en faisant attention à ne pas se taper la tête sur le plafond puis il repoussa sa chaise derrière lui et il se mit en tailleur près de la table. Ainsi, il est à peu près à bonne taille pour éviter que les gens qui mangeait dans le restaurant et qu'il le regardais fasciné ne soit tous touché par le torticolis.

Ps : Excuse moi pour mon retard Staire mais je galère trop pour pouvoir utiliser un pc ><

Ao Kiji on t'attend x3

http://oprpgv2.forums-actifs.com/forum.htm

Rooh d'accord ^^

» Absence de Staire <3
» presentation a la marine
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